Julien Larzul - Psychopraticien / Magnétiseur

La transmission d’Energie de nos Parents

La transmission d’Energie de nos Parents

C’est une femme qui transmet l’énergie-mère

C’est un homme qui transmet l’énergie-père

– L’énergie-maman accueille dans l’intimité du foyer. Elle passe par le toucher, la douceur, la fragilité, l’humilité, l’écoute et l’indulgence.

– L’énergie-papa accueille à l’extérieur de la relation intime avec maman. Elle passe par le toucher, la tendresse, l’écoute, l’intimité et la reconnaissance.

 – L’énergie-mère passe par la parole. La mère parle du corps, du ressenti, des émotions, elle enseigne, elle initie, elle éduque, elle réconforte et elle relie.

– L’énergie-père passe aussi par la parole. Le père enseigne, il initie, il éduque, il encourage, il exige et il sépare.

Ce sont bien des énergies et je peux mettre des années à les ressentir, à les accepter, à les intégrer dans mon corps ; la prise de conscience de mon mental ne suffit pas. L’équilibre entre ces deux énergies, père et mère, est une nécessité pour que l’énergie divine et l’énergie vitale puissent passer à travers moi.

Le fait de ressentir cette énergie féminine et cette énergie masculine en moi m’évite d’avoir besoin d’une personne du sexe opposé pour exister. La réunion de ces deux énergies dans mon corps me permet d’atteindre, au delà du désir, l’unité de l’être, la non séparation, la non dualité. A cause de la peur de l’homme, la femme fonctionne le plus souvent avec le message intérieur suivant : “Je ne partage pas ma féminité avec un homme, je la garde pour moi.”

Et, à cause de la peur de la femme, l’homme fonctionne le plus souvent avec le message intérieur suivant : “Je ne partage pas mon masculin avec une femme, je le garde pour moi.” L’échange entre les deux énergies masculine et féminine ne se fait pas et chacun reste incomplet. C’est une très grande souffrance refoulée dans chacun des sexes. Une mère échange parfois son énergie féminine avec son fils quand il est petit, mais elle garde souvent le pouvoir sur lui, quand il grandit, de peur qu’il se serve de la puissance de cette énergie contre elle. Dans ce cas, c’est la colère contre son père à elle qui n’a pas été acceptée. Son père, c’est le premier homme qui, par peur de la femme, ne lui a pas donné son énergie masculine.

Ce qu’il aurait fait en l’encourageant dans sa créativité et sa liberté, en lui montrant sa force en elle et en lui apportant des valeurs comme l’exigence et l’effort. Pour l’homme, c’est la colère contre sa mère qui n’a pas été acceptée. La mère, c’est la première femme qui, par peur de l’homme, ne lui a pas donné son énergie féminine afin de mettre en valeur sa sensibilité, sa conscience, son droit à l’existence, sa vulnérabilité, sa tendresse, son besoin de s’appuyer sur une énergie féminine extérieure. Sa mère est indispensable pour permettre à sa féminité en lui de prendre toute sa place.

La féminité de sa mère est là aussi pour lui apprendre l’acceptation, le processus du deuil et la faculté d’accepter une frustration.

L’homme ne cherche, dans ses conquêtes féminines, qu’à retrouver la symbiose énergétique qu’il a connue avec une femme, sa mère, dans son ventre. Il cherche à retrouver la force qui l’a créé, la force de Dieu, pour l’avoir en lui, parce qu’on ne lui a pas fait ressentir qu’il l’avait déjà dans chacune de ses cellules depuis sa création.

La femme ne cherche qu’à retrouver la symbiose physique et énergétique formée par son père et sa mère le jour où leur corps entremêlés l’ont créée. Elle recherche un homme pour recréer ce couple dont elle imagine qu’il est le seul capable de créer, d’agir avec la force de Dieu. C’est oublier, elle aussi, qu’elle l’a déjà à l’intérieur de toutes ses cellules depuis l’acte d’amour qui l’a créée, et tout cela parce que son père ne le lui a pas dit ! (Parce que sa mère à lui … , etc…, etc…) L’homme et la femme ont oublié qu’ils ont, chacun, les deux forces, masculine et féminine qui, associées, nous permettent de vivre une vie harmonieuse, créative et heureuse

L’énergie ce sont aussi des énergies refoulées comme des désirs, des peurs, des colères ou même des joies que je n’ai pas pu exprimer ou partager en temps voulu. Ces énergies sont comprimées et enkystées à l’intérieur de mon corps et un travail de conscience sur mes émotions d’aujourd’hui peut m’amener à libérer ces abcès qui abîment mon corps et le détruisent au fur et à mesure que j’avance en âge. Si j’accepte de laisser revenir à ma conscience ces blessures, l’énergie qui y est emprisonnée va d’abord prendre de l’importance et me faire souffrir à nouveau de façon très violente mais, ensuite, cette énergie prendra tellement d’expansion qu’elle se dissoudra et disparaîtra de mon corps. C’est par la liberté de ma respiration que je sens si je résiste à la libération de ces énergies négatives.

Première rencontre avec le Bébé

La présence d’un bébé, dès la grossesse, est toujours un événement, un surgissement pour lui-même et pour son entourage qui provoque un bouleversement, des turbulences, un dérangement, des émotions, des interrogations et des questions. Il s’agit bien d’un événement au sens philosophique du terme qui peut générer suivant les circonstances des situations contingentes, des réactions variées pouvant aller de la violence sous toutes ses formes au ravissement et à l’émerveillement. Or ce qui nous intéresse à travers la philosophie, c’est la question : qu’est-ce qu’un enfant ? Est-elle ou non identique à la question : qu’est-ce que l’homme ? De quelle nature sont les relations qui unissent les adultes aux enfants au-delà des liens biologiques ? Pourquoi le corps sensible de l’enfant est-il aussi sensible à l’affection, à la bienveillance, à l’intention qui anime les gestes de celui qui s’en occupe ? La rencontre avec le bébé, pour ses parents, son entourage et pour nous professionnels peut être une source de l’étonnement philosophique. Mais elle est en même temps une incitation au questionnement éthique.

Chaque lieu qui accueille des jeunes enfants est unique, mais tous conjuguent avec plus ou moins de bonheur et de compétence des ingrédients que l’on retrouve et qui font la spécificité et le socle commun des professions de la petite enfance.

même quand l’enfant est attendu, désiré, aimé, il crée toujours la surprise de l’altérité, « de la violence qui fait effraction » comme le dit Levinas . Une fois là, existant, il a en lui cet appétit de vivre , cet effort pour persévérer dans l’être et ce besoin d’être aimé, qui appellent en retour une exigence éthique de la part des humains qui l’entourent. C’est pourquoi l’accueil de cette altérité nécessite parfois des aménagements, des rencontres de soutien, tant elle peut désemparer, éprouver et même terrifier.

Sur une population vulnérable du fait de problèmes sociaux, psychologiques, psychiatriques ou multiples qui combinent plusieurs difficultés, ce surgissement de la responsabilité et des soins à donner à l’enfant dans la continuité, peut avoir des conséquences graves sur son développement.

Car le psychisme des parents placés dans ces conditions est alors plus sensible et ils ne peuvent pas toujours répondre aux besoins de leur enfant de façon suffisamment bonne, s’ils se retrouvent seuls.

On parle en effet de « transparence psychique » dans la période périnatale et la présence du bébé peut quelquefois entraîner des psychoses puerpérales, des dépressions, des moments de confusion ou bien au contraire provoquer des bouleversements positifs tels que l’épanouissement de chacun, des réconciliations familiales, une recréation et des réaménagements favorables de l’histoire transgénérationnelle.

En effet devenir parent implique un changement de statut dans les générations, un changement des rythmes quotidiens liés au nourrissage, au sommeil et aux soins que requiert un nouveau-né, avec la fatigue qui en découle. Mais l’enfant offre aussi par sa venue une chance de sortir des répétitions et une possibilité d’appel à un tiers extérieur. Il a en lui une puissance créatrice immense qui lui permet, par sa présence, d’établir des relations et des liens avec les personnes qui l’entourent.

A LIRE en son entier….. https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00504947/document

Source :https://prendresoindenosenfantsquantiques.wordpress.com

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