L’existence humaine est définie par la souffrance – non pas comme un événement aléatoire, mais comme une partie d’un système de récolte où nos émotions négatives, en particulier la peur, sont siphonées comme des loosh par des entités prédatrices.

L’existence humaine est définie par la souffrance – non pas comme un événement aléatoire, mais comme une partie d’un système de récolte où nos émotions négatives, en particulier la peur, sont siphonées comme des loosh par des entités prédatrices.

Ces êtres, souvent décrits dans les traditions gnostiques comme des Archontes, prospèrent sur notre douleur, nous assurant de rester pris au piège dans des cycles de détresse, de traumatisme et d’agitation émotionnelle.

La réincarnation n’est pas un processus d’évolution spirituelle comme beaucoup le croient, mais plutôt un système de confinement. Lorsqu’un être meurt, la mesure dans laquelle il a fait face à ses peurs et chocs ontologiques détermine son sort. Ceux qui restent enchaînés par la peur, la souffrance et l’ignorance non résolues sont recyclés dans le système, renaissent dans de nouvelles vies où ils continuent à générer du loosh. Cela maintient

le cycle s’autoalimente, assurant un approvisionnement régulier en énergie aux entités qui s’y alimentent.

Beaucoup d’âmes restent piégées indéfiniment, ne s’échappant jamais parce qu’elles ne peuvent pas se libérer de leur propre prison auto-imposée de peur et de souffrance.

L’ouroboros, le serpent qui mange sa propre queue, est la clé pour s’échapper. La peur ne peut être dépassée, la souffrance ne peut être niée; tenter de le faire alimente le système. Au lieu de cela, la vraie libération vient de faire face et de consommer ces émotions, en les intégrant plutôt que de leur résister. Il ne s’agit pas de chercher la souffrance, mais plutôt de la maîtriser pour qu’elle ne alimente plus le cycle du loosh.

Tldr : nous restons liés parce que nous refusons de regarder vers l’intérieur et de dissoudre la peur qui nous lie au cycle. Nous devons mourir à nos émotions.

Émotions = énergie métaphysique en mouvement 

Mouvement = agitation 

Agitation = souffrance

Immobilité = équilibre, paix

« Rien de ce qui est terrestre n’offre un bénéfice aux choses célestes; les choses célestes cependant profitent aux choses de la terre. » – Le onzième enseignement d’Hermès à Tat, verset 41. 

« La nature même de cette matrice dualiste est l’oscillation. Les oscillations contiennent les deux côtés/positions opposés. Zénith et nadir; ascension et descente; bien et mal; vie et mort; sommeil et éveil. L’un donne naissance à l’autre. Quel rôle alors, imaginez-vous, l’Homme céleste a à l’intérieur de cette schizophrénie matérielle [Gr. mot à diviser en deux]. Il cherche constamment à établir un seul des deux opposés; le bien contre le mal; la révolte contre la chute; la justice au lieu de l’injustice. Mais peu importe à quel point l’homme lutte pour stabiliser une seule des deux conditions, tôt ou tard la loi de cette nature dyadique engendrera inévitablement une de ses nombreuses expressions du côté opposé.

Ce n’est qu’en diminuant le plus possible la largeur (l’amplitude) de son oscillation quotidienne, et en égalisant les oppositions entre les « pôles », qu’il peut trouver l’équilibre. Alors, après s’être détaché d’eux, Il verra clairement ce dyadisme de la nature et reconnaîtra en elle « l’arbre de la connaissance du bien et du mal ». Mais aussi longtemps que l’homme se tient sur cette oscillation qui parfois le soulève puis le fait descendre, il lui est impossible de réaliser cette vérité. Néanmoins, cet état d’équilibre qu’il appliquera à sa vie est superficiel et non réel.

–Mais l’homme, par sa vie quotidienne, avec une combinaison harmonieuse des deux situations opposées, peut atteindre l’équilibre parfait. Il peut mettre en action la « moyenne d’or » et éradiquer la polarisation schizophrène. »

– Pouvez-vous supporter la vérité, Angeliki S. Anagnostou.

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